dimanche 18 novembre 2012

LE BOISAGE 

Bois de construction

Le sapin est le bois que l'on emploie le plus souvent dans la construction de moyenne importance.
Suivant le lieu d'origine (sapin importé ou sapin de pays), le bois débité se présente sous des dimensions légèrement différentes. En voici quelques unes.

Madriers

230 x 100 - 230 x 80 - 220 x 76 - 205 x 76 - 180 x 76

Bastaings 

180 x 65 - 165 x 65 - 155 x 65 - 155 x 52 - 125 x 52

1/2 madriers

230 x 50 - 230 x 40 - 220 x 38 - 205 x 38 - 180 x 38

Les demi-madriers, les demi-bastaings, les chevrons, la volige... sont le plus souvent découpés dans les madriers dont on retrouve une des dimensions.

Dimensions courantes du sapin de pays

Madriers 

220 x 80 - 180 x 80 - 155 x 65

Bastaings 

180 x 65 - 165 x 65 - 155 x 65

Chevrons 

90  x 80 - 80 x 80 - 80 x 70 - 65 x 60

Pose des solives 

Le plancher et le plafond sont fixés l'un au-dessus, l'autre au dessous des solives ; ces dernières ont à soutenir la charge du mobilier et des personnes que l'on évalue en moyenne pour les locaux habitables de 150 à 250 kg par m2 de surface.

La longueur, la section et l'écartement des solives ont donc une très grande importance qu'il importe de ne pas sous estimer lorsqu'il s'agit de la construction de locaux habitables.

La pose est des plus simples, elle consiste à placer sur champ, les bastaings ou madriers, sur le niveau supérieur de la maçonnerie (soubassement ou haut de plafond) qui aura été auparavant dressé le mieux possible.

On donnera aux solives un écartement de 0,50 m à 0,70 m, la première et la dernière devant être accotées le long des murs ; l a longueur de la partie qui est encastrée et prend appui dans la maçonnerie ne doit pas être inférieure à 0,20 m.

Elles seront ensuite alignées dans leur ensemble, certaines remontées en les calant par-dessous si besoin est, au moyen de pierres plates.

Lorsque l'on se trouve en présence d'une solive légèrement cintrée, dans le sens du champ qui nous intéresse, la partie qui bombe extérieurement doit toujours être placée en haut (côté parquet).




lundi 12 novembre 2012

LA BRIQUE

LA BRIQUE 

La brique est le matériau que l'amateur emplie le plus aisément. Elle se fait  plein ou creuse. Cette dernière a la préférence car de dimensions plus importantes, elles facilitent le travail. D'autre part, les cloisonnements intérieurs forment de petits matelas d'air qui rendent les murs moins sonores et rendent moins sensibles les changements brusques de température.

Choix et dimensions 

La brique doit être choisie régulière, bien cuite dans toute l'épaisseur. En la toquant, la bonne brique doit rendre un son aigu rappelant celui de l'acier.

La brique pleine 

La brique pleine se retrouve à peu près partout en une seule dimension qui est en quelque sorte normalisée.

Longueur............0,22
Largeur..............0,11
Hauteur..............0,055

Briques creuses 

Une plus grande variété attend l'usager. Le modèle se reconnaît souvent d'après le nombre de trous. On dit de la brique 6 trous, 8 trous, etc..., mais il vaut mieux s'en tenir aux dimensions.

Briques pour murs 

6 trous : 0,22 x 0,11 x 0,11
8 trous : 0,22 x 0,11 x 0,065

Briques pour clôtures

3 trous : 0,26 x 0,12 x 0,045
4 trous : 0,30 x 0,16 x 0,085

D'autres modèles de formes spéciales servent comme hourdis au remplissage de l'espace plancher/plafond.

Pose de la brique 

Dans tout travail de maçonnerie la pose de chaque élément de brique, plein ou creux se retrouve et se décompose comme suit :

- Etaler une truellée de mortier
- Poser dessus la brique que vous aurez trempée ou simplement arrosée d'eau.
- Enfoncer la brique dans le mortier en tapant avec le manche de la truelle.
- Vérifier de temps à autre, d'après le cordeau ou le fil à plomb.
- Supprimer d'un coup de truelle les bavures de mortier.

Les joints entre les briques ne doivent pas avoir plus de 1 cm d'épaisseur.

Le mortier employé dans le montage des briques est formé de :

Chaux.......... 1 partie
Sable..........  4 parties

Y ajouter un peu de ciment.

Pour les endroits humides :

Ciment.......... 1 partie  1/2
Sable............ 4 parties  1/2

Lorsque la façade se fait en briques apparentes, la qualité de la brique placée à l'extérieur est particulièrement choisie et les joints sont remplis après coup de :

Ciment.............  1 partie
Sable très fin..... 1 partie

- Lisser au fer à joint après avoir nettoyé la surface de la brique à l'aide d'une brosse trempée dans un seau d'eau dans lequel on aura ajouté un verre d'esprit de sel.

Murs en briques

La brique étant un matériau de forme régulière, il est possible, en choisissant le côté d'un élément ou en les associant, d'obtenir l'épaisseur du mur désirée.

Avec la brique comme avec les autres matériaux,  les éléments doivent se chevaucher ; les joints n'étant plus dans le prolongement les uns des autres, l'amorçage d'une crevasse se fait plus difficilement.
Nous indiquons ci-dessous la façon de croiser les briques dans les épaisseurs courantes.

Rappelons que la brique, même bien cuite, est encore hygrométrique et que dans les travaux de quelque importance, il ne faut pas l'employer directement en fondation.

Par contre, monté sur fondations de béton, un mur bien établi de 0,22 en briques pleines, ou même 0,18 en briques creuses suffit à l'établissement du soubassement formant sous-sol et du rez-de-chaussée d'un petit pavillon normal.

Nous rappelons également, par mesure d'économie, qu'un bâtiment de surface donnée absorbera d'autant moins de briques que sa forme se rapprochera de celle d'un carré.

Murs de refend 

Ce sont des murs épais montés sur des fondations de la même manière que les murs extérieurs dont le rôle est de soulager le centre de la construction. C'est sur eux que prennent appui les extrémités des solives lorsque les dimensions de la construction dépasse les longueurs courantes (4 m 50 à 5 m par exemple).

Un mur de refend peut être remplacé dans bien des cas par un pilier central en briques, monté sur une bonne semelle, sur lequel viendra prendre appui en son centre un madrier placé transversalement et sur lequel, à leur tour, viendront reposer les extrémités des solives.

La construction d'un mur de refend est amorcée en même temps que l'on monte les murs extérieurs et agrafé en faisant chevaucher les briques des deux murs.

Chaines d'angles

Elles sont constituées par des piles de briques ou de moellons, placés dans des sens différents, qui servent à renforcer les angles des murs extérieurs et des ouvertures.

Dans les murs en briques ou en éléments réguliers, la chaîne est formée par ces derniers que l'on place alternativement dans un sens ou dans l 'autre, amorçant ainsi l'autre pan de mur.

Les angles de constructions, en pisé notamment, ont besoin d'être renforcés par des chaînes dont l'importance varie suivant la résistance recherchée.

Ouvertures

On entend par ouvertures, l'emplacement des portes et fenêtres. Les distances à réserver sont réglées par les dimensions extérieures des chambranles de portes, châssis de fenêtres ou toutes autres pièces de menuiserie qui doivent y trouver place. A défaut, on compte ordinairement pour une porte : 2 m 20 sur 1 m, et pour une fenêtre,  1 m 95 sir 1 m 20.
Les côtés verticaux de ces ouvertures se nomment les jambages ; les briques s'y succèdent l'une au-dessus de l'autre par une brique entière et une demi-brique jusqu'en haut.

Les deux jambages sont réunis par une traverse appelée linteau ou par un cintre. Les linteaux peuvent être constitués par une longueur  de madrier posé de champ comme les solives et que l'on recouvre de pointes si on veut le noyer dans l'enduit extérieur. Ils  peuvent être également constitués par deux poutrelles de fer en I dont l'écartement est réglé par deux ou trois boulons munis de tubes entretoises, l'intérieur de ces deux poutrelles sera rempli, soit par des briques, des plâtras, etc... Le linteau en ciment armé, coulé sur place entre deux planches et d'une hauteur de 0,15 à 0,25, faisant d'autre part, la largeur du mur, est encore la solution la plus pratique.

Dans tous les cas le linteau devra porter sur 0,20 au moins de chaque côté sur les jambages.

Cintres et voûtes

La charge tend à faire fléchir au centre une poutre placée horizontalement, tandis que, dans le cas d'un cintre, elle se réduit en poussées latérales contenues de chaque côté par la maçonnerie. Cet avantage est également obtenu par la taille des pierres, sous la charge chaque élément se trouvant emprisonné, l'affaissement ne peut se produire.

Mais dans nos travaux courants, il est plus pratique d'employer la brique.

Le montage d'une voûte est précédé par l'établissement d'une assise constituée  par des planches épousant le petit côté du cintre et sur laquelle nous disposerons les briques en attendant le garnissage à l'aide de mortier :

Ciment.......... 1 partie
Sable fin.......  2 parties

Pour les petites portées : plafonds de caves montés entre solives de fer, etc..., la brique est posée simplement de champ, la flèche du cintre étant réglée par la brique la plus haute qui ne dot pas dépasser le niveau le plus haut de la poutrelle. Du côté plancher, la résistance de ces voûtains permet de les recouvrir directement de carrelage en y interposant toutefois la semelle habituelle de sable sur 2 cm environ.

Nous avons vu comment on montait les cintres remplaçant les linteaux au-dessus des portes et fenêtres ; lorsque les portées deviennent plus importantes : plafonds de caves entièrement voûtés, etc..., les briques seront placées sur leur hauteur, soit sur 0,22.

Lorsque la voûte sera faite en béton, lui donner une épaisseur suffisante, de 0,22 à 0,30 et l'armer de fers ronds noyés dans :

Ciment......................................................1 partie
Sable, gravillon et gravier tout venant.......... 3 parties

Le tout doit être soigneusement damé et n'être coffré qu'après 15 jours à 3 semaines en été, plus tard en hiver.

Murs sous grilles

Les murs servant de soubassement à une grille se montent soit sur 0,22 d'épaisseur en briques pleines, soit sur 0,16 en disposant un rang de briques creuses. Ils reposeront sur des fondations de 0,20 de profondeur.

Il est bon d'agrafer en un ou deux endroits le mur au pilier en remplaçant une boutisse par une brique pleine dont la seconde moitié ira se loger dans une amorce que l'on découpera au burin dans le pilier si elle n'a pas déjà été réservée lors du montage.

Un autre modèle de  clôture se monte rapidement et économiquement au moyen de briques pleines posées à plat ou de champ et aussi à l'aide  des briques creuses spéciales de grande surface et peu épaisses que nous avons mentionnées plus haut.

Ce manque d'épaisseur conduisant, par contre, à une diminution de la solidité du mur, on est conduit à placer tous les 2 mètres des tuteurs en fer  à I qui, enfoncés dans le béton encore frais des fondations, assureront la rigidité et faciliteront grandement le remplissage en briques. Aux extrémités, le fer I sera remplacé par un fer U.

PILIERS 

Suivant le ballant et le poids des portes qu'ils ont à soutenir, les piliers de briques assurent leur résistance par leur masse et leur poids. Il reposeront sur une fondation de 0,30 à 0,40 de profondeur faite d'un mortier de ciment ou de chaux hydraulique.

samedi 10 novembre 2012

La maçonnerie

LE CIMENT
ciment portland

Deux sortes de ciment sont employées
Le ciment à prise lente et le ciment à prise rapide. Il est bon de noter que les objets à sceller doivent être maintenus immobiles dans leur position définitive dés le début du travail, la prise commençant à se manifester au bout de 15 a 20 minutes aprés l'application.
Le premier est enployé pour tous les travaux de surface  : montage de murs, etc... Le deuxième pour les travaux sous l'eau ou dans les endroits humides.
Au cours de l'ouvrage, et sans autre spécification ,c'est du ciment portland qu'il sagit.
Le ciment s'emploie rarement seul, sauf dans certains cas comme les petits scellements, les raccords, la pose de tuyauterie, etc.
Gâchage du ciment

A l'encontre du plâtre on verse dans l'auge le ciment de premier, puis l'eau tout doucement, et on travaille la pâte. Le ciment a l'énorme avantage, pour le débutant, de prendre beaucoup moins rapidement que le plâtre.
Il ne faut jamais employer un ciment trop clair. Lorsque l'on a mal calculé les proportions, on peu ajouter un peu de poudre de ciment tout en continuant de remuer la pâte. A noter que pour obtenir la résistance et une prise normale, on doit toujours employer la pâte à l'état consistant et jamais liquide.
LA CHAUX
On emploie trois sortes de chaux :
- la chaux lourde réservée pour les constructions ordinaires en surface.
- la chaux hydrolique, moins résistante que la première, mais que l'on emploie dans les endroits humides
- la chaux vive, livrée en morceaux et que l'on "éteint" en jetant de l'eau dessus. Elle est surtout utilisée pour badigeonner la surface les murs,  en pulvérisation sur les arbres fruitiers, etc...
Gâchage de la chaux
Il s'opère de la même façon que pour le ciment auquel elle se substitue dans de nombreuses utilisations.
MORTIERS
Le mortier est un amalgame de chaux ou de ciment avec du sable ou du gravier et de l'eau dans des proportions que nous indiquerons séparément pour chacun des travaux envisagés.
Dans le mortier le sable agit avec son volume et sa résistance, le ciment ou la chaux comme liants. En effet, pendant le gâchage, chaque grain s'entoure d'une couche de ce liant et le scelle au voisin. On comprend ici l'importance d'un bon gâchage.
Ce mortier, placé en litière sous chaque élément, en épouse la forme, ce qui donne la stabilité à l'ensemble. On l'emploie également comme enduit extérieur. Un mortier est dit maigre lorsqu'il contient une excédent de sable. Il est dit gras lorsqu'il contient un excès de liant (chaux ou ciment) sur les proportions courantes.
Gâchage du mortier
Sur un sol en ciment, ou mieux, sur une surface plane formée de planches, étaler en un tas chaux, sable et ciment dans les proportions  nécessaires et mélanger à sec. Lorsque le liant à l'état poudreux a recouvert chaque grain de sable et que l'ensemble a pris une teinte grise uniforme, disposer le tas en couronne et verser un peu d'eau au centre, puis mélanger petit à petit le sable et l'eau. Un bon mortier s'obtient par un long triturage avec le moins d'eau possible.
Un mortier non hydraulique bien gâché, mais en un petit tas, peut encore être employé 3 ou 4 heures après ; on pourra même le ramollir au bout de 6 ou 7 heures en y ajoutant un peu de poudre de ciment et de chaux pour redonner un peu de force ; regâcher à nouveau.
BETON
Le béton est un mortier où le sable fin est remplacé par du gravillon mélangé de sable gros. Pour la commodité du gâchage, le rabot peut être remplacé par la griffe. Le gravillon incorporé au béton en augmente le volume, aussi l'emploie-t-on avec le sable pour remplir les grands vides, les fondations...
FONDATIONS

fondations

C'est sur la surface réduite des fondations que repose le poids de la construction. On doit donc attacher une importance particulière à leur établissement.
TRACE

Piquer en terre à chaque angle 4 morceaux de chevron sur lesquels on cloue des traverses  ; tendre des cordeaux maquant les limites extrêmes de la construction. Vérifier une dernière fois avant de commencer le terrassement, l'orientation et les distances à respecter s'il y a lieu et mentionnées sur l'acte de propriété.
TERRASSEMENT
Creuser entre les cordeaux une tranchée aux bords très nets jusqu'à la terre  franche (sable), la terre arable, sujette à des tassements n'offrant pas assez d'assise à la semelle de fondation.
Lorsqu'il ne s'agit que d'une construction de faible importance (poulailler, water-closet, petite remise), la profondeur des fondations ne pourra être que de 20 à 30 cm.
Dans les constructions plus importantes comme une maison d'habitation, la profondeur sera portée à 40 ou 50 cm.
Dans le  cas d'un rez-de-chaussée sur cave ou garage, la partie enterrée reste la même, mais les murs continuent à monter verticalement le long du terrassement jusqu'à 0,50 m ou 1m50 au-desssus de la surface du sol.
Le remplissage des rigoles se fait généralement en béton grossier, que l'on pilonne directement dans la tranchée, en moellons ou en meulière, mais en employant toujours un béton résistant à l'humidité et de constitution suivante :
Ciment .......................... 1 partie
Sable et gravillon ......... 3 parties
ou
Chaux très hydraulique.....  2 parties
Sable et gravillon..............  5 parties
On a intérêt à augmenter la surface de la semelle pour mieux répartir la charge, et quelquefois à l'armer pour diminuer les fendillements qui proviennent des tassements dans certains terrains.
Dans tous les cas, l'importance de la fondation doit être proportionnée à celle de la construction, et la largeur de la tranchée droit être au moins celle des murs qui la surplombent.
Sur un terrain en pente, les fondations d'un mur doivent être élevées et établies horizontalement par coffrage et par paliers successifs. Un mur établi ainsi sur des bases horizontales résistera beaucoup mieux à la poussée des terres.
L'épaisseur d'un mur de fondation varie de 16 à 40 cm, suivant la nature et l'importance de la construction.

CONSTRUCTION DES MURS
(Les matériaux et leur pose)
LES MOELLONS
Pierres de bonne grosseur employées surtout pour les fondations et les murs de soubassement. La construction en moellons demande une certaine habileté de la part d'un amateur et de la patience.
Composition du mortier pour travaux en surface :
- Chaux hydraulique.......... 2 parties
- Sable............................... 3 parties
ou
- Ciment Portland............. 1 partie
- Sable.............................. 3 parties
Etaler pour chaque moellon un lit de mortier de 2 cm d'épaisseur. Prendre une pierre et la poser sur ce lit en conservant l'horizontalité et l'aplomb : la face la plus régulière tournée vers l'extérieur, les autres faces se trouvant à l'intérieur et noyées dans le mortier.
En pratique on étale le lit de mortier sur toute la longueur d'un pan de mur et l'on dispose les moellons les uns à côté des autres, comme il vient d'être dit.
Les moellons seront calés et les grands vides remplis avec de la caillasse que l'on disposera morceau par morceau dans le mortier.
A un joint du rang inférieur correspondra la face d'un autre élément.
De temps à autres, agrafer le mur en plaçant un moellon de dimension plus grande dont la largeur sera disposée en largeur du mur ; ce moellon se nomme parpaing.
Une construction peut être montée en moellons bruts, c'est-à-dire employés dans leur forme primitive ou en moellons appareillés lorsque les éléments sont subi une taille sur les côtés, ce qui donne à l'ensemble une présentation plus régulière et plus harmonieuse.
LA MEULIERE
Très recherchée pour la construction, son montage se fait comme celui des moellons et demande également une  très grande habileté.
Sortie de terre, la pierre est mise à sécher, puis on la brosse grossièrement à l'aide d'un carde métallique pour extraire la terre qui se trouve dans les cavités.
Si on a du temps, laisser le tas de pierres exposé aux intempéries. Le gel et la pluie contribueront à effriter la terre qui peut y rester.

LA BRIQUE

La brique est le matériau utilisé le plus souvent par l'amateur. Elle se fait pleine ou creuse. Cette dernière a les préférences, car de dimensions plus importantes, elle facilite le travail. D'autre part, les cloisonnements intérieurs forment de petits matelas d'air qui rendent les murs moins sonores et rendent moins sensibles les changements brusques de température.

mardi 14 février 2012


                              Contact :

                      Fabrice LECLERC

                       06 95 13 57 64
                       09 50 91 39 47
                  drh.leclerc@gmail.com

Plomberie

Installations et dépannages

Entretien chaudières fioul - ramonage

Electricité - petite maçonnerie - faïence - rénovations - aménagement des combles - réalisation de fresques murales et de trompes l'oeil